Je me souviens de ce matin là. Je devais avoir approximativement 10 ans lorsque mes yeux se sont posé sur ce frêle oisillons tombé du nid. Je ne savais pas comment il avait fait pour arriver de cette haute montagne de Kumo jusqu’ aux environs de ce village. Mais une chose était certaine, il était venu jusqu’ à moi guidé par l’ étrange force d’ un destin sans nom.
Prise de pitié de son état déplorable je ne pu m’ empêcher de le ramasser et de l’ emmener voir mon père adoptif qui était une sorte de soigneur de rapace. Je ne voulais pas le laisser seul, en espérant du fond de mon cœur que ses parents reviennent le chercher. Peut être étaient t’ ils mort comme les miens? Sa je ne l’ ai jamais su et je n’ ai même pas fait l’ hypothèse qu’ il puisse être le petiot d’ un des oiseaux messagers de notre village. Non il était beaucoup plus gros tout en étant plus fin. Ses yeux étaient si perçant que je ne pouvais m’ empêcher de détourner mon regard. J’ avais, la sensation qu’ il pouvait lire au fond de moi et deviner aisément mes mensonges. Je lui avait promis que ses parents reviendraient et pourtant j’ ai menti. Ils ne sont jamais revenu et il est devenu comme moi, un orphelin. Encore même après toutes ses années la culpabilité me ronge et pourtant je ne peux m’ empêcher d’ être heureuse de l’ avoir à mes cotés. Notre lien est si fort que j’ ai la sensation de ne faire plus qu’ un avec lui.

Encore une fois je me rappelle de l’ expression qu’ à fait ma mère quand elle a vu ce volatil a mes cotés. Elle en était sidéré et j’ ai vu dans ses yeux le fantôme d’ un passé qui m’ était inconnu et qui pourtant me concerné au plus au point.
Elle me dit qu’ il était sans doute temps que j’ apprennes quelles étaient mes origines du moins du coté de la branche maternelle. Je savais beaucoup de chose sur mon père biologique grâce aux habitants qui l’ avait côtoyé mais de ma mère j’ ignorais tout. C’ était une étrangère. Une étrangère accompagné par un chien, un énorme chien au pelage d’un roux flamboyant. Celui-ci n’ avait pas survécu à la mort de sa maîtresse. Leur vie avait été lié dès que leur regard c’était croisé pour la première fois. Tel était le destin du clan Inuzuka originaire de Konoha.

Bien que je m’ étais lié avec un autre animal qu’ un canidé, on ne pouvait nier que Mihawk, tel était le nom que je lui avais donné, était mon compagnon pour la vie. Il est intéressant de voir que finalement j’ avais hérité de quelque chose venant d’ elle. Bien que souvent, on m’ est dit que j’ avais le même visage fin que ma défunte mère.

-Dites pouvez vous m’ apprendre à m’ entrainer avec Mihawk? Je sais que ce n’ est qu’ un oiseau mais il est mon compagnon tout comme votre chien gris.

Voici mot pour mot la demande que j’ ai fait à un membre du clan qui passait par là un an après que mon destin c’ était lié au faucon. L’ homme d’ abord hésitant finit par accepter au nom de notre lien de sang. Pour lui c’ était une nouveauté. Un cas pareil ne s’ était jamais produit auparavant pas même au temps des premiers Inuzuka. Peut être était ce dû au fait que j’ étais un sang mêlé et que donc n’ importe quel animal pouvait faire l’ affaire du moment qu’ un lien psychique c’ était instauré.

L’ homme se nommait Kazumi Inuzuka. Il m’ assura que cette symbiose inhabituelle me permettrait d’ acquérir une vue perçante capable de discerner n’ importe qui à longue distance tout en étant capable de discerner les imperfection que laisse le camouflage. Je pouvais même distinguer une silhouette de manière précise dans le brouillard le plus épais tant que la nuit n’ était pas tombé. En effet, les faucons sont diurne et pas nocturne. Mais en plus de ce sens ultra développé il était possible que ma vitesse soit également affecté par ce lien. Je pourrais donc me montrer extrêmement rapide. En somme, je n’ étais pas devenu un’ importe qui et j’ allais donc devoir travailler extrêmement dur avec mon rapace pour atteindre un niveau plus que correcte. Il ne serait donc pas question pour moi de flancher en cours de route. Trois ans s’ écoulèrent et je m’ entrainais avec un acharnement non vain. J’ avais pu apprendre la discipline ainsi que quelques techniques du genre de Je me souviens de ce matin là. Je devais avoir approximativement 10 ans lorsque mes yeux se sont posé sur ce frêle oisillons tombé du nid. Je ne savais pas comment il avait fait pour arriver de cette haute montagne de Kumo jusqu’ aux environs de ce village. Mais une chose était certaine, il était venu jusqu’ à moi guidé par l’ étrange force d’ un destin sans nom.
Prise de pitié de son état déplorable je ne pu m’ empêcher de le ramasser et de l’ emmener voir mon père adoptif qui était une sorte de soigneur de rapace. Je ne voulais pas le laisser seul, en espérant du fond de mon cœur que ses parents reviennent le chercher. Peut être étaient t’ ils mort comme les miens? Sa je ne l’ ai jamais su et je n’ ai même pas fait l’ hypothèse qu’ il puisse être le petiot d’ un des oiseaux messagers de notre village. Non il était beaucoup plus gros tout en étant plus fin. Ses yeux étaient si perçant que je ne pouvais m’ empêcher de détourner mon regard. J’ avais, la sensation qu’ il pouvait lire au fond de moi et deviner aisément mes mensonges. Je lui avait promis que ses parents reviendraient et pourtant j’ ai menti. Ils ne sont jamais revenu et il est devenu comme moi, un orphelin. Encore même après toutes ses années la culpabilité me ronge et pourtant je ne peux m’ empêcher d’ être heureuse de l’ avoir à mes cotés. Notre lien est si fort que j’ ai la sensation de ne faire plus qu’ un avec lui.

Encore une fois je me rappelle de l’ expression qu’ a fait ma mère quand elle a vu ce volatil a mes cotés. Elle en était sidéré et j’ ai vu dans ses yeux le fantôme d’ un passé qui m’ était inconnu et qui pourtant me concerné au plus au point.
Elle me dit qu’ il était sans doute temps que j’ apprennes quelles étaient mes origines du moins du coté de la branche maternelle. Je savais beaucoup de chose sur mon père biologique grâce aux habitants qui l’ avait côtoyé mais de ma mère j’ ignorais tout. C’ était une étrangère. Une étrangère accompagné par un chien, un énorme chien au pelage d’un roux flamboyant. Celui-ci n’ avait pas survécu à la mort de sa maîtresse. Leur vie avait été lié dès que leur regard c’était croisé pour la première fois. Tel était le destin du clan Inuzuka originaire de Konoha.

Bien que je m’ étais lié avec un autre animal qu’ un canidé, on ne pouvait nier que Mihawk, tel était le nom que je lui avais donné, était mon compagnon pour la vie. Il est intéressant de voir que finalement j’ avais hérité de quelque chose venant d’ elle. Bien que souvent, on m’ est dit que j’ avais le même visage fin que ma défunte mère.

-Dites pouvez vous m’ apprendre à m’ entrainer avec Mihawk? Je sais que ce n’ est qu’ un oiseau mais il est mon compagnon tout comme votre chien gris.

Voici mot pour mot la demande que j’ ai fait à un membre du clan qui passait par là un an après que mon destin c’ était lié au faucon. L’ homme d’ abord hésitant finit par accepter au nom de notre lien de sang. Pour lui c’ était une nouveauté. Un cas pareil ne s’ était jamais produit auparavant pas même au temps des premiers Inuzuka. Peut être était ce dû au fait que j’ étais un sang mêlé et que donc n’ importe quel animal pouvait faire l’ affaire du moment qu’ un lien psychique c’ était instauré.

L’ homme se nommait Kazumi Inuzuka. Il m’ assura que cette symbiose inhabituelle me permettrait d’ acquérir une vue perçante capable de discerner n’ importe qui à longue distance tout en étant capable de discerner les imperfection que laisse le camouflage. Je pouvais même distinguer une silhouette de manière précise dans le brouillard le plus épais tant que la nuit n’ était pas tombé. En effet, les faucons sont diurne et pas nocturne. Mais en plus de ce sens ultra développé il était possible que ma vitesse soit également affecté par ce lien. Je pourrais donc me montrer extrêmement rapide. En somme, je n’ étais pas devenu un’ importe qui et j’ allais donc devoir travailler extrêmement dur avec mon rapace pour atteindre un niveau plus que correcte. Il ne serait donc pas question pour moi de flancher en cours de route. Trois ans s’ écoulèrent et je m’ entrainais encore avec cet acharnement non vain de mes débuts. J’ avais pu apprendre la discipline ainsi qu'une technique que je ne maitrisais pas encore.Giyjuu nimpô un justus capable de transformer mon oiseau, en mon double.Seulement cette technique n’ est pas tout a fait au point bien que je ne désespère pas de l’ apprendre parfaitement, car elle me sera fort utile dans mes combats.Quand à la synchronisation et les effets de celle çi qu'avait prédit son sensei,elles s' étaient pleinement réalisé.

Validé ^^